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Tag: Changement climatique en Afrique

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Environmentalists do not understand why Egypt, the host country of the 27th United Nations Climate Change Conference (COP27), has chosen the beverage brand Coca-Cola as the event’s sponsor. The American company is said to be the world’s biggest plastic polluter, producing 120 billion disposable plastic bottles per year. 

The 27th United Nations Climate Conference (COP27), which takes place from 6 to 18 November 2022 in Sharm El-Sheikh, Egypt. This major meeting for governments, businesses and environmental groups, which aims to stop global warming, is sponsored by the Coca-Cola brand. But for environmental activists, Coca-Cola’s sponsorship is « another example of corporate greenwashing ».

« Coca-Cola’s sponsorship of COP27 is pure greenwashing. Over four years, in our annual corporate surveys, we found that Coca-Cola was the world’s biggest plastic polluter. It is astonishing that a company with such strong ties to the fossil fuel industries is allowed to sponsor such a crucial climate meeting, » says Emma Priestland of Break Free From Plastic, an international organisation that fights plastic pollution.

Almost 99% of plastics are made from fossil fuels

For the environmental organisation Greenpeace, Coca-Cola’s sponsorship of COP27 is « incomprehensible ». « Coca-Cola produces 120 billion disposable plastic bottles a year, and 99% of plastics are made from fossil fuels, adding to the plastic and climate crisis. If Coca-Cola really wants to solve the plastic and climate crisis, it needs to turn off its plastic tap. End Coca-Cola’s reliance on single-use plastic, » says John Hocevar, Greenpeace USA’s Oceans Campaigner.

A petition to remove Coca-Cola from the list of COP27 sponsors has been launched by Georgia Elliott-Smith, a climate activist who attended COP26 in Glasgow. As of 8 October 2022, the petition had already been signed by 67,826 people, out of a target of 75,000.

This wave of anti-Coca-Cola protest began on 28 September 2022 when the Egyptian government announced the partnership with the brand, welcoming the « shared opportunities for communities and people around the world and in Egypt ». For its part, Coca-Cola says it wants to « do its part » to meet the challenge of « eliminating waste in the ocean ». And the American soft drink giant has been multiplying initiatives to fight plastic pollution in Africa in recent years. From Kisumu in Kenya to Lagos in Nigeria and the Ugandan capital Kampala, Coca-Cola supports initiatives to collect and recycle plastic waste through start-ups and local authorities.

Fanta Mabo

C’est tout le sens de l’atelier sur les changements climatiques et ses répercussions sur l’environnement tenu le 5 octobre 2022 à Yaoundé (Cameroun). l’USFE, entendez  » United Voice to Serve Forest and Environment « , vient de bénéficier d’un accompagnement de l’ONG international Global water partnership. Cet atelier vise entre autres à fédérer les efforts de ses  partenaires pour faire du Cameroun un pays émergent en 2035.

Compte tenu de l’ampleur des défis qui pèsent sur la biodiversité et l’environnement naturel, en raison des activités humaines, le monde est appelé à faire face aux conséquences des changements climatiques. Un phénomène qui menace les moyens de subsistance d’un milliard de personnes dans plus de 100 pays. Face à cette situation, des mesures urgentes sont à prendre pour sauvegarder et protéger la vie humaine. Et pour faire face à ces dangers sur l’humanité, le Programme Eau, Climat, Développement-Genre (Wacdep G) du GWP Cameroun, dans ses missions régaliennes se propose d’accompagner l’initiative de Tree for Hope dans sa mise en œuvre des investissements genre – transformateur dans le secteur de l’eau. C’est pour outiller les principaux bénéficiaires que sont les femmes et les enfants que Wacdep G a décidé d’accompagnement cet atelier.

En mettant en exergue l’approche Tree for Hope, il est également question de valoriser l’agroforesterie (qui associe la plantation des arbres et des arbustes), qui est une solution efficace à la lutte contre la faim et la pauvreté. C’est d’ailleurs dans cette logique qu’un site expérimental a vu le jour à Ahala Barrière en banlieue sud de Yaoundé.

Au sortir de cet atelier, il sera question de mettre sur pied un cadre de compréhension de l’encrage de l’initiative Tree for Hope dans le programme Wacdep G mais aussi d’informer et de susciter l’intérêt du grand public et des institutions gouvernementales.

Elie Nlend

CAMEROUN : le Global Water Partnership apporte sa contribution à la lutte contre le réchauffement climatique

C’est tout le sens de l’atelier sur les changements climatiques et ses répercussions sur l’environnement tenu le 5 octobre 2022 à Yaoundé (Cameroun). l’USFE, entendez  » United Voice to Serve Forest and Environment « , vient de bénéficier d’un accompagnement de l’ONG international Global water partnership. Cet atelier vise entre autres à fédérer les efforts de ses partenaires pour faire du Cameroun un pays émergent en 2035.

The DRC government’s oil and gas project is also provoking the wrath of musical artists. They have initiated protest concerts, the aim being to thwart the implementation of a government project that threatens the integrity of some of the country’s protected areas, including the Virunga National Park.

A collective of artists from the city of Goma, Democratic Republic of Congo (DRC), organized a concert on September 23, 2022, to demand the cancellation of the auction of oil and gas blocks. The concert was organized to counter the Congolese government’s decision to auction off the exploitation rights of 30 oil and gas blocks, some of which straddle protected areas in the Congo Basin (considered the world’s second largest forest lung after Amazonia, ed.) These artists were gathered around the slogan « Together let’s protect our forests and parks for the future of our children ».

At the same time, about 200 young Congolese activists marched for climate protection in Limete, a commune in the city of Kinshasa. The demonstration was held on the sidelines of the pre-COP 27, scheduled for October 3 to 5 in the DRC. According to the secretary general of the Youth Movement for the Protection of the Environment, Rose Mathé, the project undertaken by the Congolese government is « in contradiction » with the will of the country to present itself as a solution against climate change. « The world is in the process of making a transition to renewable energies, which do not pollute. But oil exploitation, on the contrary, destroys the environment », regrets Rose Mathé.

The challenge for the DRC

In July 2022, the DRC government auctioned off the exploitation rights for 27 oil blocks and three gas blocks. According to environmentalists, nine of these blocks cross protected areas, including the Virunga National Park (created in 1925 on an area of 790,000 hectares), which has been listed as a World Heritage Site by the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) since 1979. In addition, the concessions concerned cover 11.2 million hectares of tropical forest and one million hectares of peatland.

The Congolese government, for its part, reassures that none of these blocks are located in environmentally sensitive areas. The Minister of Hydrocarbons, Didier Budimbu, foresees revenues of around 2,000 billion dollars. A financial windfall that will enable development projects to be undertaken throughout this Central African country.

Fanta Mabo

Le Conseil des ministres de la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac) élabore sa feuille de route en vue des différentes Conférences des Parties (CdP) de 2022 (climat, et biodiversité), ainsi que la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites). Les travaux de deux jours se tiennent à Kintélé, en République du Congo.

C’est à Kintélé, la banlieue nord de Brazzaville, que ce déroulent du 28 au 30 septembre 2022, la réunion extraordinaire du Conseil des ministres de la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac), préparatoire aux différentes joutes mondiales sur le climat et la biodiversité, prévus en fin d’année 2022. Il s’agit des Conférences des Nations unies sur le climat (COP27 de novembre 2022 en Egypte), sur la diversité biologique  (COP15 de décembre 2022 au Canada), ainsi de la 19e Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites, de novembre 2022 à Panama).

À travers cette réunion, la Comifac, de concert avec l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime veulent faciliter l’adoption des positions communes sur les points inscrits à l’ordre du jour des COP prévues en 2022 et la 19e Cites. Cette réunion vise par ailleurs à soutenir le renforcement de la coopération judiciaire entre les États membres de la Comifac/CEEAC (Commission économique des États de l’Afrique centrale) en matière de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages et le trafic illicite de ressources naturelles. Elle permettra également d’identifier les différents mécanismes de financement de la conservation de la biodiversité en Afrique centrale, et contribuera à la formulation des recommandations en vue de la mobilisation de ressources budgétaires nationales en faveur de la gestion des aires protégées et transfrontalières.

Une réunion financée par l’UE

La réunion divisée en deux phases, celle des experts les 28 et 29 septembre 2022, et celle des ministériel le 30 septembre 2022, est organisée avec l’appui financier de l’Union européenne (UE), dans le cadre du Programme d’appui aux réformes et renforcement des capacités institutionnelles de la CEEAC (Parcic) et le programme Ecofac 6.

Compte tenu du caractère transversal de la lutte contre les crimes qui portent atteinte à l’environnement, les résultats de la réunion seront déterminés par la participation des départements ministériels en charge des Forêts et/ou de l’Environnement, de la Justice, de la Défense, de l’Intérieur et des Finances des différents États membres de la CEEAC (l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Congo Démocratique, le Gabon, la Guinée Équatoriale, le Rwanda, Sao Tome & Principe et le Tchad).

« L’ampleur et l’impact du trafic des ressources naturelles n’est plus aujourd’hui une simple question de dommages à l’environnement, mais constitue une menace à l’état de droit, la paix, la sécurité, ainsi que l’économie et aux conditions de vie de millions de personnes. », indique la Comifac.

En 2020, une étude effectuée par l’organisation Elephants Without Borders (EWB) a révélé que plus de 100 000 éléphants ont été tués en Afrique depuis 2007 en raison du braconnage. Alors qu’il a diminué en Afrique de l’Est, le phénomène persiste en Afrique de l’Ouest, centrale et australe.

Boris Ngounou

CONGO : Kintélé abrite les assises de la Comifac, en prélude aux COP de 2022

Le Conseil des ministres de la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac) élabore sa feuille de route en vue des différentes Conférences des Parties (CdP) de 2022 (climat, et biodiversité), ainsi que la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites). Les travaux de deux jours se tiennent à Kintélé, en République du Congo.

Africa is losing between 5% and 15% of its per capita GDP growth due to climate change and its associated effects. These figures have just been released by Kevin Chika Urama, the acting chief economist of the African Development Bank (AfDB). According to the expert, the continent needs about $1.6 trillion between 2022 and 2030 to implement its Nationally Determined Contributions (NDCs).

« Every year, Africa loses between 5% and 15% of its GDP per capita growth due to climate change and its associated impacts. The continent needs about US$1.6 trillion between 2022 and 2030 to implement its Nationally Determined Contributions, » says Kevin Urama, the African Development Bank (AfDB) Group’s Acting Chief Economist and Vice President in charge of Power, Energy, Climate and Green Growth.

For the economist, it is crucial that the international community fulfils its commitment to provide US$100 billion to help developing countries and African economies mitigate and adapt to the effects of climate change. Marginalised in the allocation of climate finance, African countries are the most vulnerable to the effects of climate change according to the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), despite contributing only 3% of global emissions.

According to AfDB figures, African countries received only $18.3 billion in climate finance between 2016 and 2019. This leaves a climate finance gap of up to $1,288.2 billion per year from 2020 to 2030. 

Kevin Urama presented this data on 7 September 2022 in Cairo at a panel discussion on the sidelines of the Egypt Forum for International Cooperation, which was held under the theme, « The Role of African Countries in Setting the Climate Agenda ». Now in its second year, the Egypt Forum for International Cooperation is an annual event that provides a forum for discussion of current issues, including those related to the 2030 Sustainable Development Goals (SDGs), between countries and between financial institutions and development partners.

Fanta Mabo

AFRICA: Climate crisis causes 15% annual loss of GDP per capita

Africa is losing between 5% and 15% of its per capita GDP growth due to climate change and its associated effects. These figures have just been released by Kevin Chika Urama, the acting chief economist of the African Development Bank (AfDB). According to the expert, the continent needs about $1.6 trillion between 2022 and 2030 to implement its Nationally Determined Contributions (NDCs).