Environnementales, le plus grand magazine radiophonique de contribution à la protection de l’environnement, célèbre ses 10 ans.
Yaoundé, esplanade de la Radio Tiemeni Siantou, du 27 au 31 mars 2023.
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Environnementales, 10 ans de radio au service de la nature. Egalement disponible sur environnementales.com.
C’est l’image d’une femme, confrontée à deux prétendants. Le massif forestier d’Ebo, l’un des point chaud de la biodiversité mondiale, situé à cheval entre les régions du Littorale et du Centre au Cameroun, est confronté à deux approches de gestion diamétralement opposées. L’on a d’un côté les défenseurs de l’environnement qui veulent en faire un parc national, et de l’autre, des exploitants forestiers qui veulent y couper du bois.
Dans la foulée de cette bataille entre acteurs économiques et écologiques, les choses semblent malgré tout, tourner à l’avantage des exploitants forestiers. Un projet d’ouverture de route est en cours depuis l’année dernière dans le massif forestier d’Ebo. Les initiateurs du projet disent vouloir faciliter le retour du peuple Banen sur ses terres ancestrales, abandonnées il y a 60 ans pendant la guerre dite du Makis, qui a précédée l’indépendance du Cameroun. Mais pour les défenseurs de l’environnement cet arguments aussi philanthrope qu’il soit, n’est qu’une farce, pour piller l’une des rares forêts vierges de la planète, ceci au mépris des nombreux accords et batailles climatiques dans lesquels s’est engagé le Cameroun et ses partenaires.
Dans cette nouvelle production d’environnement nous examinons et analysons les enjeux du projet d’ouverture de route en cours dans le massif forestier d’Ebo, ainsi que les activités forestières illégales, lié audit projet.
C’est l’image d’une femme, confrontée à deux prétendants. Le massif forestier d’Ebo, l’un des point chaud de la biodiversité mondiale, situé à cheval entre les régions du Littorale et du Centre au Cameroun, est confronté à deux approches de gestion diamétralement opposées. L’on a d’un côté les défenseurs de l’environnement qui veulent en faire un parc national, et de l’autre, des exploitants forestiers qui veulent y couper du bois.
« L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde. » La transposition écologique de cette citation de Nelson Mandela, est la suivante : « L’éducation environnementale est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour inverser la dégradation de l’environnement. » C’est en ce sens que l’Association pour l’égalité et le bien-être (ASEBE), a mené en décembre dernier, une vaste campagne de sensibilisation aux problèmes environnementaux dans la localité de Taro, nous sommes là dans l’arrondissement de Bafia, département du Mbam et Inoubou, région du centre.
Dans cette nouvelle production d’Environnementales, nous examinerons les problèmes environnementaux rencontrés par les populations de Taro, ainsi que les solutions y relatives, proposées par les membres d’Asebe.
« L’éducation est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour changer le monde. » La transposition écologique de cette citation de Nelson Mandela, est la suivante : « L’éducation environnementale est l’arme la plus puissante que vous puissiez utiliser pour inverser la dégradation de l’environnement. » C’est en ce sens que l’Association pour l’égalité et le bien-être (ASEBE), a mené en décembre dernier, une vaste campagne de sensibilisation aux problèmes environnementaux dans la localité de Taro, nous sommes là dans l’arrondissement de Bafia, département du Mbam et Inoubou, région du centre.
L’Association pour l’égalité et le bien-être (ASEBE), procède en début du mois prochain, au lancement d’une vaste campagne de sensibilisation aux problèmes environnementaux dans la localité de Taro, dans le département du Mbam et Inoubou, région du centre. Il s’agira entre autres d’inviter les habitants de ce bassin de production agricole, à adopter des techniques durables. Pour en parler, Thiérry Ndimi, le président de l’Asebe répond aux questions de Boris Ngounou
L’Association pour l’égalité et le bien-être (ASEBE), procède en début du mois prochain, au lancement d’une vaste campagne de sensibilisation aux problèmes environnementaux dans la localité de Taro, dans le département du Mbam et Inoubou, région du centre. Il s’agira entre autres d’inviter les habitants de ce bassin de production agricole, à adopter des techniques durables. Pour en parler, Thiérry Ndimi, le président de l’Asebe répond aux questions de Boris Ngounou
Au Cameroun et en République démocratique du Congo la disparition rapide des forêts sacrées inquiète toutes les instances. Lieu de rites ancestraux et de pratique sacrificielle, les forêts sacrées subissent de plus en plus de pression au péril de leur biodiversité et de leur rôle écologique. Pour inverser la tendance, chefs traditionnels, société civile et gouvernements multiplient les initiatives. Les détails dans ce grand format, signé Boris Ngounou et Myriam Iragi, avec le soutien du Rainforest Journalism Fund et du Pulitzer Center.
Au Cameroun et en République démocratique du Congo la disparition rapide des forêts sacrées inquiète toutes les instances. Lieu de rites ancestraux et de pratique sacrificielle, les forêts sacrées subissent de plus en plus de pression au péril de leur biodiversité et de leur rôle écologique. Pour inverser la tendance, chefs traditionnels, société civile et gouvernements multiplient les initiatives. Les détails dans ce grand format, signé Boris Ngounou et Myriam Iragi, avec le soutien du Raindforest Journalism Fund et du Pulitzer Center.