La communauté internationale est sous le choc suite au décès tragique de Sylvie Louisette NGO YEBEL Epse FOUNGA, une figure respectée et engagée dans la conservation des écosystèmes forestiers en Afrique centrale. Mme FOUNGA, experte en communication au Secrétariat Exécutif de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC), a été retrouvée assassinée le dimanche 07 avril 2024 à Yaoundé, au Cameroun.
Titulaire d’un Diplôme en Communication d’Entreprise et d’un Master en Management Environnemental et Développement Durable, Mme Sylvie Louisette NGO YEBEL Epse FOUNGA a consacré sa carrière à la promotion de la conservation et de la gestion durable des ressources forestières en Afrique centrale. Avant de rejoindre la COMIFAC en février 2019, elle a occupé le poste de Responsable Communication au sein du TRAFFIC Bureau Afrique centrale de septembre 2012 à novembre 2016.
Son engagement sans faille et son intégrité exemplaire ont été salués par la COMIFAC, qui reconnaît le rôle majeur qu’elle a joué dans le renforcement de l’image de l’organisation aux niveaux international, régional et sous-régional. Mme FOUNGA laisse derrière elle un héritage durable dans le domaine de la conservation environnementale en Afrique centrale.
En cette période de deuil, le Secrétariat Exécutif de la COMIFAC adresse ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Mme Sylvie Louisette NGO YEBEL Epse FOUNGA. La communauté internationale pleure la perte d’une pionnière et d’une défenseure de l’environnement, tandis que les autorités locales s’efforcent de faire toute la lumière sur les circonstances de ce tragique événement.
La mort de Mme FOUNGA est non seulement une perte pour sa famille et ses collègues, mais aussi pour toute la communauté engagée dans la préservation de la biodiversité et des écosystèmes forestiers en Afrique centrale. Son héritage perdurera à travers les actions et les initiatives qu’elle a initiées, et son engagement en faveur de la protection de l’environnement continuera d’inspirer les générations futures.
Boris Ngounou