On June 21, 2024, Madagascan President Andry Rajoelina inaugurated the first segment of the Antananarivo cable car, marking a significant advancement in the capital’s urban transport system. This innovative project aims to alleviate traffic congestion and provide a more environmentally friendly alternative to conventional transportation.
The Antananarivo cable car, with the capacity to transport up to 75,000 passengers daily, addresses the issue of overcrowding in a city originally designed for 300,000 residents, which now accommodates over 3 million. President Rajoelina, along with several Malagasy and French officials, showcased the efficiency and safety of this new transportation mode by flying over the city center in one of the cable cars.
Environmental Benefits
The cable car system represents a substantial environmental benefit. « Removing 75,000 passengers from buses and 2,000 cars from Tana’s roads is a major step in reducing carbon emissions and improving travel efficiency, » stated Gérard Andriamanohisoa, Madagascar’s Secretary of State for New Towns and Housing. Decreasing the number of vehicles on the roads will lead to a reduction in CO2 emissions, thereby enhancing the air quality in the capital.
The 12 km project, executed by French companies Poma and Colas, features a highest point of over 50 meters. Extensive safety tests were conducted over several weeks before opening to the public. « We test the brakes and have numerous sensors in the stations and along the line to detect any potential issues early, allowing us to stop the system and ensure passenger safety, » explained Guillaume Rannaz, Technical Manager at Poma.
The construction, which cost a staggering €152 million, was primarily financed through a bank loan guaranteed by the Banque Publique d’Investissement. An additional €28 million was funded by a loan from the French Treasury.
Despite its numerous advantages, the cable car remains out of reach for a large segment of the population due to its cost. A ticket is priced at 4,000 ariarys (approximately 80 euro cents), six times the cost of a bus ticket. With a minimum wage of around €50 per month, many residents of Tananarivo cannot afford this mode of transport. However, social fares are available for students and pensioners.
On June 21, 2024, Madagascan President Andry Rajoelina inaugurated the first segment of the Antananarivo cable car, marking a significant advancement in the capital’s urban transport system. This innovative project aims to alleviate traffic congestion and provide a more environmentally friendly alternative to conventional transportation.
Le ministère de l’Environnement de l’Égypte et l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi) ont uni leurs forces dans le cadre d’un projet de 3 millions de dollars visant à atténuer les émissions de gaz à effet de serre et à préserver la biodiversité à Hurghada. L’initiative, baptisée « Green Hurghada » ou « Verdir l’industrie touristique à Hurghada », vise à favoriser une reprise durable dans les secteurs du tourisme, de l’énergie et des transports.
Bordant la mer rouge, au sud du canal de Suez, la ville d’Hurghada, l’une des plus importantes stations balnéaires du pays des Pharaons, accueille le projet baptisée « Green Hurghada » ou « Verdir l’industrie touristique à Hurghada ».
Financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM), un fonds international axé sur la conservation de la biodiversité et l’atténuation du changement climatique, le projet qui vise à favoriser une reprise durable dans les secteurs du tourisme, de l’énergie et des transports, s’étalera sur cinq ans et s’alignera sur les plans de relance post-COVID-19. Il se concentrera sur la mise en œuvre de solutions technologiques durables et la promotion d’investissements verts dans le secteur touristique d’Hurghada, tout en sensibilisant à l’importance de la préservation de la biodiversité.
Promotion de pratiques touristiques durables
L’objectif ultime est de développer une industrie touristique plus résiliente en privilégiant la durabilité environnementale, économique et sociale. Lors de la cérémonie de signature, Patrick Gilabert, représentant de l’Onudi en Égypte, a souligné l’objectif du projet d’encourager des pratiques touristiques durables et de répondre à l’impact des activités touristiques et de pêche sur la biodiversité.
Des évaluations environnementales stratégiques seront menées, et des efforts seront déployés pour atténuer les effets du changement climatique et de la pollution atmosphérique, a ajouté Gilabert. Le projet comprendra également un programme dédié pour fournir une assistance technique, promouvoir le développement technologique et offrir des incitations à l’investissement.
Le ministère de l’Environnement établira un Comité de pilotage du projet (PSC) pour superviser la mise en œuvre du projet. De plus, la ministre de l’Environnement, Yasmine Fouad, a déclaré qu’elle superviserait également la collaboration entre divers ministères et organisations égyptiennes impliquées dans le projet, fournissant une assistance stratégique cruciale pour atteindre ses objectifs. Fouad a en outre mentionné que le FEM et l’Onudi joueront un rôle dans la préparation d’études de suivi essentielles sur le projet et de rapports.
Vision pour un Sharm El-Sheikh vert
La vision plus large de l’Égypte inclut la transformation de Charm el-Cheikh en une ville verte d’ici 2028, dans le cadre d’une initiative financée par le FEM et mise en œuvre en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Ces dernières années, l’Égypte a déjà pris des mesures en faveur du développement durable à Charm el-Cheikh, comme l’adoption de véhicules électriques pour le transport, l’obligation de certifications vertes pour les hôtels et l’interdiction des sacs en plastique à usage unique.
Hurghada et Charm el-Cheikh sont des destinations touristiques vitales le long de la côte égyptienne de la mer Rouge, attirant chaque année des millions de visiteurs du monde entier. Selon le ministre du Tourisme Ahmed Issa, ces deux villes ont accueilli collectivement environ sept millions de touristes en 2023, sur un total de 14,9 millions de touristes ayant visité l’Égypte. Boris Ngounou
Le ministère de l’Environnement de l’Égypte et l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi) ont uni leurs forces dans le cadre d’un projet de 3 millions de dollars visant à atténuer les émissions de gaz à effet de serre et à préserver la biodiversité à Hurghada. L’initiative, baptisée « Green Hurghada » ou « Verdir l’industrie touristique à Hurghada », vise à favoriser une reprise durable dans les secteurs du tourisme, de l’énergie et des transports.
La pêche industrielle est en procès au Cameroun. Les violations commises par cette catégories de pêche dont les prises à la fois massives et excessives mettent en mal la biodiversité marine et les moyens de subsistance des communautés côtières, ont valu au Cameroun d’écoper d’un carton rouge de la part de la commission européenne. Par cette sanction, les produits de pêche camerounais sont interdits d’entrée sur le marché européen. Car les ressources halieutiques du Cameroun sont pour ainsi dire, capturées de manière illicite, non déclarée et non réglementée. L’on parle ici de pêche INN. Un fléau qui coute à l’économie camerounaise, un manque à gagner de l’ordre de 20 milliards de Fcfa par an, selon des chiffres officiels.
Environnementales, un magazine radiophonique conçu et présenté par Boris Ngounou. Diffusé sur Radio Siantou (90.5 Fm à Yaoundé) et sur environnementales.com contact WhatsApp: +237674033989
La pêche industrielle est en procès au Cameroun. Les violations commises par cette catégories de pêche dont les prises à la fois massives et excessives mettent en mal la biodiversité marine et les moyens de subsistance des communautés côtières, ont valu au Cameroun d’écoper d’un carton rouge de la part de la commission européenne. Par cette sanction, les produits de pêche camerounais sont interdits d’entrée sur le marché européen. Car les ressources halieutiques du Cameroun sont pour ainsi dire, capturées de manière illicite, non déclarée et non réglementée. L’on parle ici de pêche INN. Un fléau qui coute à l’économie camerounaise, un manque à gagner de l’ordre de 20 milliards de Fcfa par an, selon des chiffres officiels.
La société Hygiène et salubrité du Cameroun (Hysacam) n’est responsable de la collecte et du transport des ordures ménagères dans l’arrondissement de Yaoundé 3. C’est ce qui ressort d’un communiqué publié le 12 janvier 2023 par l’entreprise, qui évoque des raisons indépendantes de sa volonté. La situation est née de la volonté des autorités de la ville, de libéraliser le service de propreté à Yaoundé.
Ecouez les explications d’Innocent Ebode, le responsable communication d’hysacam
Hysacam ? Avec un chiffre d’affaires annuel moyen de 53 millions d’euro (34,7 milliards de francs CFA), Hysacam est dotée de 600 engins lourds pour l’assainissement notamment des balayeuses mécaniques, des camions-grues ainsi que des bennes à ordures ménagères et des porte-coffres récemment acquis. Outre le Cameroun ses activités s’étendent à Monrovia au Libéria à Nimey au Niger, à N’djamena au Tchad et à Cotonou au Bénin. L’entreprise collecte quotidiennement 5 000 tonnes de déchets dans les cinq pays africains. Pour ses opérations post-collecte, l’entreprise dispose par ailleurs de deux centrales de captage et de traitement de biogaz basés à Yaoundé et à Douala au Cameroun. Des infrastructures pour lesquelles Hysacam a déboursé 12 milliards de francs CFA (18,2 millions d’euros) créant de ce fait 500 emplois.
Avec un chiffre d’affaires annuel moyen de 53 millions d’euro, Hysacam est dotée de 600 engins lourds spécialisés dans le ramassage et le traitement des déchets ménagers. Outre le Cameroun ses activités s’étendent à Monrovia au Libéria et à Cotonou au Bénin. L’entreprise collecte quotidiennement 5 000 déchets. Pour ses opérations post-collecte, l’entreprise dispose par ailleurs de deux centrales de captage et de traitement de biogaz à Yaoundé et à Douala au Cameroun. Des infrastructures pour lesquelles Hysacam a déboursé 12 milliards de francs CFA (18,2 millions d’euros) créant de ce fait 500 emplois.
As Tunisia aspires to resilient biodiversity to accelerate sustainable development, the banking, cement and mineral water sectors in this North African country signed voluntary commitments with the World Wildlife Fund (WWF) on 29 November 2022. The agreements were signed in the framework of the « Ambition for Biodiversity Biodev2030 » project.
In Tunisia, cement producers will take biodiversity into account in quarrying activities. They will develop and disseminate knowledge on biodiversity in and around quarrying areas. Restoration of ecosystems and landscapes after quarrying and collaboration with biodiversity stakeholders will also be part of the process.
This is the substance of an agreement signed on Tuesday 29 November 2022 in Tunisla capital, between the Tunisian National Chamber of Cement Producers (CNPC) and the North African branch of the World Wildlife Fund (WWF). The Swiss-based non-governmental organisation (NGO) has also signed similar agreements with two other economic sectors, namely mineral water and banking.
The Biodev2030 project
The commitments made by the cement, banking and mineral water sectors in favour of biodiversity are a first in Tunisia. They were concluded on the sidelines of the closing ceremony in Tunis of the « Biodev 2030 » project, which is being conducted in 16 pilot countries, including Benin, Kenya, Cameroon and Tunisia. This project is funded by the French Development Agency (AFD), coordinated by Expertise France, and implemented in Tunisia by WWF-North Africa for a period of two years (2020-2022).
In its vision, the biodev230 initiative aims to halt the decline of biodiversity by 2030 and restore biodiversity by 2050.
To further reduce the pressure on Tunisian biodiversity (nearly 7500 animal and plant species in 17 national parks and 27 nature reserves), WWF-North Africa representatives and the « Biodev2030 » partners aim to involve other economic sectors in this cause through the development of green investments and the promotion of corporate social and environmental responsibility.
As Tunisia aspires to resilient biodiversity to accelerate sustainable development, the banking, cement and mineral water sectors in this North African country signed voluntary commitments with the World Wildlife Fund (WWF) on 29 November 2022. The agreements were signed in the framework of the « Ambition for Biodiversity Biodev2030 » project.