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Tag: Changement climatique en Afrique

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Protection de la planète, les dirigeants du monde se réunissent à Dubaï dès ce jeudi 30 novembre, pour évaluer et améliorer la lutte mondiale contre le changement climatique. Il s’agit de la 28e conférence des Nations unies sur le climat dénommée COP 28. Le Cameroun, pays membre du bassin du Congo, entend capitaliser l’apport climatique de sa forêt. Comme tout le reste des pays africains, le Cameroun attend des pays industrialisés, les fonds nécessaires à la lutte climatique.
Le Cameroun a besoin de financements climatiques d’un montant global de 58 milliards de dollars, soit 35 mille milliards de FCFA, ce qui représente près de 5 fois son budget pour l’année 2023. C’est carrément une somme hors de portée pour un pays à revenu intermédiaire, qui peine déjà à financer des secteurs existentiels et indispensables tels que la santé, l’alimentation, l’éducation et l’accès à l’électricité.
Le Cameroun, comme tous les autres pays africains saisissent dont l’occasion de cette 28e conférence des Nations unies sur le climat (COP28), pour demander, une fois de plus aux pays riches et industrialisés de tenir leurs engagements, conformément à l’accord de Paris sur le climat. Le traité international adopté en 2015 lors de la COP 21 tenue en France, prévoit que les États les plus riches apportent chaque année 100 milliards de dollars de financement climatique ainsi que 40 milliards de dollars supplémentaires pour aider les pays en développement à s’adapter au changement climatique. Mais 8 ans plus tard, cette disposition n’est toujours pas respectée.
Si les pays riches ont l’obligation d’apporter les financements climatiques dont ont besoins les pays pauvres, c’est parce qu’ils sont les principaux émetteurs de gaz à effet de serre. Hors l’Afrique qui ne contribue qu’à peine 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, est malheureusement le continent le plus vulnérable aux effets du changement climatique.
Au Cameroun, la perturbation des saisons, les phénomènes météorologiques extrêmes tels les inondations et les sécheresses prolongées, affectent près de 40 % de ménages. Les femmes, particulièrement celles vivant dans des zones affectées par les conflits ou appartenant à un groupe autochtone, sont plus sévèrement touchées par le changement climatique car elles représentent 75 % des travailleurs dans le secteur agricole informel et elles sont les principales responsables du bien-être de leur ménage et de sa sécurité alimentaire.
Le premier poumon écologique de la planète
C
’est donc pour pallier cette situation que le Cameroun a besoin de financements climatiques à hauteur, rappelons-le, de 35 mille milliards de Fcfa. Des fonds destinés à la mise en œuvre de sa contribution déterminée au niveau national (CDN). Un document de stratégie climatique dans lequel le Cameroun s’engage à réduire de 35 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. Le pays entend se focaliser sur l’agro écologie, les énergies renouvelables, le secteur des déchets ainsi que la gestion durable de ses 22 millions d’hectares de forêts, soit près de 46% de sa superficie totale.
Et en parlant justement de forêt, le Cameroun, tout comme les 5 autres pays du bassin du Congo, détiennent un avantage de choix dans la mobilisation de la finance climatique. Deuxième plus grand massif forestier au monde après la forêt amazonienne, le bassin du Congo joue un rôle capital dans la réduction du réchauffement climatique. C’est d’ailleurs selon des scientifiques, le plus import site d’absorption du CO2 atmosphérique, C’est le premier poumon écologique de la planète, sa préservation est dès lors, une impérative.
                                                                                                                                                                                       Boris Ngounou

CAMEROUN, quels enjeux à la COP28

Protection de la planète, les dirigeants du monde se réunissent à Dubaï dès ce jeudi 30 novembre, pour évaluer et améliorer la lutte mondiale contre le changement climatique. Il s’agit de la 28e conférence des Nations unies sur le climat dénommée COP 28. Le Cameroun, pays membre du bassin du Congo, entend capitaliser l’apport climatique de sa forêt. Comme tout le reste des pays africains, le Cameroun attend des pays industrialisés, les fonds nécessaires à la lutte climatique.

Les sociétés forestières actives dans le département de la Mvoung, telles que ROUGIER GABON et SOMIVAB, en collaboration avec la Direction provinciale des Eaux et Forêts et la Direction d’Académie Provinciale de l’Education Nationale, soutenues par l’ONG Conservation Justice, mènent un programme annuel d’éducation environnemental. Ce programme s’étend aux écoles primaires et secondaires de la circonscription Ouest de la province de l’Ogooué-Ivindo, ainsi qu’aux communautés villageoises.
Récemment, du 13 au 19 novembre 2023, une équipe de Conservation Justice accompagnée par Gabon Télévision a effectué des visites dans trois écoles primaires : l’école communale protestante de Kombani a Ovan, l’école publique de Koumameyong, l’écolle publique de DjiDji et le Lycée Daniel Nna EKAM KAM. Ces programmes éducatifs, bien accueillis par les enseignants et les responsables des établissements, renforcent les cours de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT) conformément aux programmes du Ministère de l’Education Nationale.
Au cours de ce périple à travers le département, l’équipe de Conservation Justice s’est également rendue au village Lolo 2, ou une panthère, en sus de celle récemment abattue par les villageois, a causé de nouveau des dommages dans les poulaillers. Les habitants, dépassés, se retrouvent désorientés, d’autant plus que l’arme utilisée pour abattre la première panthère les populations ne savent plus à quel saint se vouer car, l’arme qui a abattue la première panthère a été saisie par les Eaux et Forêts.
Gabon Télévision soutient cette initiative, non seulement en mettent en avant les actions de la préservation de la nature dans l’Ogooué Ivindo, mais aussi en sensibilisant le grand public aux enjeux de la conservation de la faune et la flore dans ses émissions.
Les jeunes constituent la cible principale de ces initiatives, en tant que futurs gardiens de notre environnement et principaux bénéficiaires des ressources naturelles. Leur sensibilité, souvent plus développée que celle des adultes attachés à des traditions anciennes, est capitale pur la préservation de nos écosystèmes
Pour les communautés villageoises, l’objectif est de les accompagner vers des activités économiques durables intégrant la préservation de leur environnement. Tout impact sur leur vie, qu’il soit négatif ou inclusif, a inévitablement des répercussions sur leur quotidien. EN parallèle, l’ONG apporte un soutien aux sociétés forestiers partenaires, en sensibilisant leurs employés par le biais de leurs cellules d’aménagement.
Ces classes vertes et rencontres avec les élèves et les villageois visent également à mettre en lumière les efforts des autorités pour la préservation de notre patrimoine nature, une démarche appelée à s’étendre à l’ensemble du pays.
                                                             Dieu-Donné KUMBAHT, Responsable de la communication à Conservation Justice

GABON : un programme d’éducation environnementale voit le jour dans les écoles, les lycées et les communautés locales

Les sociétés forestières actives dans le département de la Mvoung, telles que ROUGIER GABON et SOMIVAB, en collaboration avec la Direction provinciale des Eaux et Forêts et la Direction d’Académie Provinciale de l’Education Nationale, soutenues par l’ONG Conservation Justice, mènent un programme annuel d’éducation environnemental. Ce programme s’étend aux écoles primaires et secondaires de la circonscription Ouest de la province de l’Ogooué-Ivindo, ainsi qu’aux communautés villageoises.

Dès le 30 novembre prochain, plusieurs pays venus du monde entier se réuniront à DUBAÏ pour discuter autour des questions environnementales. Dans le même temps, les scientifiques affirment que l’apocalypse climatique est inévitable. Alors que faut-il espérer de cette COP28 ?

Du 30 novembre au 12 décembre 2023, aura lieu à DUBAÏ aux EMIRATS ARABES UNIS la 28e édition de la Conférence des Parties sur le climat,la COP28. Cette rencontre devenue rituelle depuis plus de deux décennies entre les pays membres de la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques sera l’occasion de faire le point sur les engagements pris lors de rencontres antérieures, notamment en termes de financement de la transition écologique et d’abandon des énergies fossiles entre autres promesses. Promesses non tenues qui ne font que favoriser l’effondrement climatique annoncé par le Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies Antonio Gutterez. Apocalypse devenue irréversible si l’on en croit les scientifiques du GIEC ( Groupe d’experts Internationaux sur le Climat, Groupe de travail de l’ONU NDLR).
La COP28 marque une première étape pour les États. Huit ans après l’Accord de Paris à la COP 21 , les gouvernements nationaux devront rendre disponible leur premier bilan national sur leurs progrès respectifs en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La crise écologique nécessite de la part des États des investissements conséquents afin d’adapter et d’atténuer les effets du réchauffement climatique sur les sociétés. Les pays du Nord s’étaient engagés à mobiliser chaque année 100 milliards de dollars US pour les pays du Sud dès l’année 2020. Cette promesse a été faite il y a 14 ans à COPENHAGUE au Danemark, mais n’avait pas encore été tenue. Les financements mobilisés ont connu une hausse notable en 2021, 89.6 milliards de dollars ont été réunis grâce à des fonds privés et publics. Cependant, une nouvelle hausse est nécessaire pour atteindre l’objectif de 100 milliards USD qui avait été fixé pour 2020, mais les données préliminaires dont dispose l’OCDE ( Organisation des Coopérations pour le Développement Économique) indiquent que les pays semblent avoir atteint cet objectif en 2023.
La rupture avec les énergies fossiles et le choix des énergies renouvelables seront aussi les priorités de cette COP28. Les combustibles fossiles ( pétrole, charbon, gaz) sont les premiers responsables du réchauffement climatique. Ils représentent 75% des émissions de GES. Et pourtant, les énergies fossiles demeurent des investissements encore privilégiés et fortement subventionnés par les Etats. Plus de 900 milliards d’euros ont été offerts en subventions par les Etats aux combustibles fossiles en 2022. Mais la sortie des énergies fossiles d’ici à 2050 nécessite une grande réorganisation pour les Etats. L’économie mondiale est actuellement trop dépendante des énergies fossiles. La COP28 sera l’occasion pour les pays de s’accorder sur un objectif commun, celui de tripler la capacité de production des énergies renouvelables d’ici 2030 pour satisfaire la demande mondiale et remplacer les énergies fossiles.
Les pays africains quant à eux, pour avoir tenu leur sommet pour le climat à NAIROBI au Kenya en septembre 2023, pourront y défendre cette fois – ci leurs intérêts d’une seule voix. Même si pour l’heure, il est inenvisageable et sans objet d’interrompre l’exploitation du pétrole et du gaz en Afrique pour des raisons évidentes de prospérité économique ; l’Afrique ne doit pas rater pour autant et une fois de plus, le virage de l’industrie verte qui de profile à l’horizon . Elle doit orienter ses revendications pour que soient développés sur son sol toutes les technologies nécessaires à l’exploitation optimale des énergies renouvelables, notamment l’énergie solaire. Quant au Cameroun et à la différence du dernier sommet de NAIROBI sur le climat, il faudra espérer cette fois-ci que notre pays sera représenté à Dubaï par notre Ministre en charge de l’Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable.
LEONEL AKOSSO.

La République du Congo accueille à Brazzaville, du 26 au 28 octobre, le Sommet des Trois Bassins, un événement historique coïncidant avec le début de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes. Ce sommet réunira des dirigeants des régions de l’Amazonie, du Bassin du Congo et de Bornéo-Mékong-Asie du Sud-Est, marquant une initiative sans précédent visant à créer une alliance mondiale engagée dans la revitalisation de 350 millions d’hectares d’écosystèmes terrestres et aquatiques. Cette initiative sera guidée par les principes fondamentaux de la coopération Sud-Sud.

Les nations forestières tropicales jouent un rôle central dans la lutte contre la déforestation tropicale et dans l’élaboration d’une gouvernance mondiale en matière de climat et de biodiversité. Et pour cause : les trois bassins (Amazonie, Congo, Bornéo-Mékong-Asie du Sud-Est) abritent collectivement 80 % des forêts tropicales du monde et deux tiers de la biodiversité terrestre.

« L’Amazonie, le bassin du Congo et les forêts tropicales indonésiennes ont besoin d’une véritable protection contre les menaces énormes auxquelles elles sont confrontées, telles que l’empiètement de l’agro-industrie, des infrastructures, de l’exploitation forestière, de l’exploitation minière, des compensations de carbone et de biodiversité et de l’exploration pétrolière. Face aux crises du climat et de la biodiversité et aux injustices sociales persistantes dans ces régions, l’amélioration de la protection des forêts primaires et la restauration écologique des forêts naturelles dégradées peuvent améliorer les perspectives de la biodiversité, augmenter le stockage du carbone et améliorer la résilience et la stabilité des écosystèmes forestiers », a déclaré Irène Wabiwa, responsable du projet international pour le Bassin du Congo à Greenpeace Afrique. « Cela peut également réduire le risque d’émissions et de points de basculement. Par conséquent, la résolution de la crise du climat et de la biodiversité exige des plans et des solutions intégrés, car il existe des dépendances fonctionnelles entre la biodiversité, l’intégrité des écosystèmes et l’atténuation et l’adaptation au climat », a-t-elle ajouté.

Dans ce contexte, la reconnaissance du rôle fondamental des peuples autochtones, des communautés locales et d’autres groupes détenteurs de droits dans la protection et la restauration de ces forêts est de la plus haute importance. Toute proposition de conservation de ces forêts qui n’intègre pas la reconnaissance et la protection des droits des peuples autochtones et des communautés locales d’Afrique, d’Amérique latine et d’Indonésie ne peut aboutir. Plus de 75 % des forêts sont protégées par les peuples autochtones et les communautés locales, mais leur rôle et leurs connaissances en matière de protection de la nature et de la biodiversité n’ont pas encore été suffisamment reconnus. Cela devient évident lorsque nous observons leur représentation minimale ou inexistante dans les arènes politiques, tant au niveau national qu’international.

En outre, seuls 17 % des fonds alloués au cours des dix dernières années incluent la participation des peuples autochtones ou des organisations de communautés locales. Les voix des peuples autochtones et des communautés locales doivent être entendues et amplifiées. Ils doivent également avoir accès aux ressources pour maintenir leurs actions autodéterminées en matière de protection de la biodiversité et de lutte contre le changement climatique.

Cependant, si l’on examine l’agenda du sommet des trois bassins, il est évident que les marchés du carbone joueront un rôle central dans les discussions, étant perçus comme un outil majeur pour financer la protection et la restauration de la nature. “Nous savons que la marchandisation de la nature et les violations des droits de l’homme vont proliférer si les marchés du carbone deviennent le principal mécanisme de financement de la protection et de la restauration de la nature », a déclaré Arie Rompas, chef d’équipe de la campagne sur les forêts à Greenpeace Indonésie. “Il est essentiel d’accentuer les approches non marchandes, conformément à l’Accord de Paris, pour financer la protection et la restauration de la nature, plutôt que de s’appuyer sur des marchés du carbone non réglementés. De plus, il convient de repérer et de promouvoir les initiatives de financement basées sur les droits, qui visent à soutenir les peuples autochtones et les communautés locales engagés dans la préservation et la restauration de leurs forêts et ressources naturelles », poursuit-il.

Dans la perspective de la CDB 16 et de la COP 30, il est impératif de développer une voie alternative pour aborder les questions liées aux forêts et aux terres. Cette voie devrait comprendre des demandes spécifiques adressées aux dirigeants mondiaux pour protéger et restaurer les forêts. Cela devrait inclure un financement prévisible et accessible tout en garantissant la reconnaissance des droits et du rôle des peuples autochtones et des communautés locales dans cet effort de protection et de restauration des forêts.

Pour Romulo Batista, Responsable de Campagne à Greenpeace Brésil : “Le sommet des trois bassins offre une opportunité unique de renforcer la coopération Sud-Sud et de construire une voie de gouvernance alternative. Cet objectif ne pourra être réalisé que si les dirigeants s’éloignent résolument des industries extractives et d’autres initiatives nuisibles qui accélèrent la destruction de la biodiversité et menacent les peuples autochtones et les communautés locales”.

“Nous exhortons les gouvernements des pays des trois bassins à protéger et à restaurer les forêts, en particulier en garantissant la reconnaissance des droits et du rôle des peuples autochtones et des communautés locales. Ces gouvernements devraient se concentrer sur la mise en œuvre d’approches alternatives, durables et non marchandes de financement de la biodiversité et encourager l’action collective », conclut Victorine Che Thoener, Responsable de Portefeuille Senior chez Greenpeace International et cheffe de délégation pour le compte de Greenpeace à Brazzaville.
Greenpeace International

SOMMET DES TROIS BASSINS : Greenpeace plaide pour une meilleure prise en compte des droits des Communautés

Journaliste environnementaliste et littéraire, LEONEL AKOSSO a lu pour notre média, l’exhortation apostolique du Pape François, LAUDATE DEUM, publié le jour de la fête de Saint François d’Assise, le 04 octobre 2023. Cette production littéraire fait suite à l’encyclique écologique LAUDATO SI, paru en 2015 et longtemps resté une référence en matière de discours officiel de L’Eglise catholique Romaine sur la protection de l’environnement.

Greenpeace Afrique présente ses plus sincères condoléances aux familles des victimes des glissements de terrain survenus dans la capitale camerounaise, Yaoundé, et appelle le gouvernement camerounais à améliorer l’aménagement du territoire pour la sécurité de ses citoyens.
Stella Tchoukep, chargée de campagne Forêts à Greenpeace Afrique, a déclaré :
« La tragédie de Mbankolo n’est pas un incident nouveau ou isolé. Le plus frustrant, c’est qu’elle était prévisible. Le processus d’aménagement du territoire au Cameroun a débuté en 2011 avec la loi d’orientation pour l’aménagement et le développement durable du territoire, et la validation du Plan National d’Aménagement et de Développement Durable du Territoire en 2016. Les autorités doivent s’assurer que le terrain est approprié avant de s’y installer et restreindre certains types d’utilisation des terres là où la stabilité géologique et des pentes reste un problème.
“Les glissements de terrain causent des pertes humaines et économiques considérables et s’aggravent en raison des émissions nocives et de l’obstruction à l’action climatique de l’industrie des combustibles fossiles. Il est temps que ces pollueurs paient pour les pertes et les dommages qu’ils causent », a ajouté Stella Tchoukep.
En octobre et novembre 2022, Yaoundé a enregistré deux autres glissements de terrain mortels à Mimboman et Damas. Une tragédie similaire s’est produite en août 2021 dans la ville de Foumban, tuant un père et ses deux enfants. D’autres glissements de terrain ont tué près de 43 personnes en 2019 dans la ville de Bafoussam (Ouest Cameroun).
Greenpeace Afrique

CAMEROUN : Des glissements de terrain tuent plus de 30 personnes à Yaoundé, Greenpeace demande au gouvernement d’agir et aux pollueurs de payer

Greenpeace Afrique présente ses plus sincères condoléances aux familles des victimes des glissements de terrain survenus dans la capitale camerounaise, Yaoundé, et appelle le gouvernement camerounais à améliorer l’aménagement du territoire pour la sécurité de ses citoyens.