C’est la plus grande mobilisation de ces 10 dernières années. Des centaines de militants climatiques, déployés et harangués par Greenpeace à travers plus de 550 manifestations menées dans 60 pays dont le Cameroun, et la République Démocratique du Congo. Les militants de Greenpeace expriment ainsi leur soutien à l’appel lancé par le Secrétaire des Nations Unies. Les 20 septembre dernier lors des travaux de 78eme Assemblée générale des Nations Unies, Antonio Guterres a exhorté les chefs d’Etats à la prise d’engagements ambitieux, pour l’élimination progressive des combustibles fossiles, notamment le pétrole et charbon.
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Dans cette nouvelle production d’Environnementales, le point sur la mobilisation contre la pollution plastique et les énergies fossiles, organisée le 15 septembre dernier à Yaoundé par les militants de Greenpeace Afrique. Egalement dans cette édition, les explications d’Oulie Keita. Au lendemain de sa participation au premier Sommet africain sur le climat, achevé le 6 septembre dernier à Nairobi au Kenya, la directrice exécutive de Greenpeace Afrique pointe du doigt la responsabilité des pays industrialisés dans le dérèglement climatique.
Mesdames et messieurs, chers auditeurs, chers internautes, bienvenu dans environnementales.
C’est la plus grande mobilisation de ces 10 dernières années. Des centaines de militants climatiques, déployés et harangués par Greenpeace à travers plus de 550 manifestations menées dans 60 pays dont le Cameroun, et la République Démocratique du Congo. Les militants de Greenpeace expriment ainsi leur soutien à l’appel lancé par le Secrétaire des Nations Unies. Les 20 septembre dernier lors des travaux de 78eme Assemblée générale des Nations Unies, Antonio Guterres a exhorté les chefs d’Etats à la prise d’engagements ambitieux, pour l’élimination progressive des combustibles fossiles, notamment le pétrole et charbon.
La pêche industrielle est en procès au Cameroun. Les violations commises par cette catégories de pêche dont les prises à la fois massives et excessives mettent en mal la biodiversité marine et les moyens de subsistance des communautés côtières, ont valu au Cameroun d’écoper d’un carton rouge de la part de la commission européenne. Par cette sanction, les produits de pêche camerounais sont interdits d’entrée sur le marché européen. Car les ressources halieutiques du Cameroun sont pour ainsi dire, capturées de manière illicite, non déclarée et non réglementée. L’on parle ici de pêche INN. Un fléau qui coute à l’économie camerounaise, un manque à gagner de l’ordre de 20 milliards de Fcfa par an, selon des chiffres officiels.
Environnementales, un magazine radiophonique conçu et présenté par Boris Ngounou. Diffusé sur Radio Siantou (90.5 Fm à Yaoundé) et sur environnementales.com contact WhatsApp: +237674033989
La pêche industrielle est en procès au Cameroun. Les violations commises par cette catégories de pêche dont les prises à la fois massives et excessives mettent en mal la biodiversité marine et les moyens de subsistance des communautés côtières, ont valu au Cameroun d’écoper d’un carton rouge de la part de la commission européenne. Par cette sanction, les produits de pêche camerounais sont interdits d’entrée sur le marché européen. Car les ressources halieutiques du Cameroun sont pour ainsi dire, capturées de manière illicite, non déclarée et non réglementée. L’on parle ici de pêche INN. Un fléau qui coute à l’économie camerounaise, un manque à gagner de l’ordre de 20 milliards de Fcfa par an, selon des chiffres officiels.
L’accès à l’eau, que ce soit pour la consommation humaine, ou pour un usage à des agricole ou énergétique, devient davantage difficile dans la région de l’extrême –Nord Cameroun. Dans cette région caractérisée par des températures grimpant parfois jusqu’à 42° Celsius, les pluies ne tombent que sur 30 à 100 jours par an. En pareil circonstances, avoir de l’eau en quantité et en qualité, s’avère quasi impossible, notamment pour les femmes.
Pour réduire la vulnérabilité des femmes face aux problèmes d’accès à l’eau, le gouvernement camerounais et le Global Water Partnership – Cameroun, promeuvent l’insertion des femmes dans les projets de gestion intégrée des ressources en eau. Une démarche pilotée à travers le programme Eau, Climat, Développement et Genre (WACDEP-G). Dans le cadre dudit programme, une vingtaine de femmes leaders d’associations féminines de la Région de l’Extrême-Nord, viennent une formation sur le contrôle des informations météorologiques. On en parle dans ce nouveau numéro d’Environnementales, merci d’être à l’écoute.
L’accès à l’eau, que ce soit pour la consommation humaine, ou pour un usage à des agricole ou énergétique, devient davantage difficile dans la région de l’extrême –Nord Cameroun. Dans cette région caractérisée par des températures grimpant parfois jusqu’à 42° Celsius, les pluies ne tombent que sur 30 à 100 jours par an. En pareil circonstances, avoir de l’eau en quantité et en qualité, s’avère quasi impossible, notamment pour les femmes.
By Zhimin Wu, Director, Forestry Division, Food and Agriculture Organization of the United Nations
Today, more than half of the world’s population live in urban areas. By 2050, this is expected to increase to almost seventy percent. Yet even people living in cities have begun to realize how vital access to forests, urban parks and green spaces is for our mental health and well-being.
There is clear evidence to show that spending time in forests reduces stress and lowers blood pressure and the risk of heart attacks. Last month, a new study by Italian universities suggested that simply breathing forest air can reduce anxiety due to the volatile compounds released by trees. In Japan, where more than nine out of ten people live in cities, ‘forest bathing’ is part of the public health strategy. ‘Green prescribing’ programmes, a holistic approach to health and care, are also gaining momentum in many countries.
As we mark the International Day of Forests today (21 March), it is worth remembering that there are many reasons to appreciate forests – and that even if we never set foot in them, forests keep us all healthy.
Forests help combat the biggest threat facing us today – climate change. Forests are huge carbon sinks, containing662 billion tonnes of carbon. That is more than half the stock of carbon in soils and vegetation around the world. They also shield us from rising heat and extreme weather events. They regulate rainfall and protect against landslides and floods. Forests also act as a natural barrier to the spread of disease from animals to humans. As deforestation continues, this barrier is fraying. More than 30 percent of new diseases reported since 1960 have been linked to changes in land-use, including deforestation.
Our forests are also natural pharmacies.Around 50 000 plant species – many of which grow in forests – have medicinal value and are used by local communities to treat conditions from snake bite and diarrhoea to rheumatism and diabetes. But also many common pharmaceutical medicines are derived from forest plants – for example, cancer-treating drugs from the Madagascar periwinkle.
Our green spaces are the world’s gift to humankind.
Yet around the world forests and trees are at risk. Ten million hectares of forests are lost to deforestation each year, 90 percent of which is driven by agricultural expansion to feed a growing global population.
They are under threat from wildfires, pests and weather extremes. Fire affected approximately 98 million hectares of forest in 2015 alone. About a third of the world’s tree species are reported to be at risk of dying out forever.
So what can we do to keep our forests – and ourselves – healthy?
We must take a more hands-on approach to managing forests sustainably. We need to halt deforestation, but we also need to grow new forests using species and techniques that maximise their resilience. We need policies in place to ensure we can feed the world population without destroying forests in the process, boosting agricultural productivity rather than expanding the land needed. And we need to improve understanding of the financial benefits of managing forests sustainably.
We must monitor natural forests and develop early warning and rapid response systems to stamp out disease faster. We must prevent the risk of wildfire long before the first spark flies.
And we must support the communities, living in and near forests, to have their rights over land and forest resources recognised. Often among the poorest in the world, these communities are best placed to manage our forests well.
The more urbanised society becomes, the more we must work together to remember that we are part of nature, and that our health and well-being depends on it. We must act now to safeguard forests and ensure they remain for our own health, and that of our children and future generations.
Food and Agriculture Organization of the United Nations with the Government of Kenya has secured financial resources under the Global Environment Facility to implement the restoration of arid and semi-arid lands of Kenya through a bio-enterprise development project.
C’est une première à Yaoundé, et même Cameroun. Un centre dédié à l’accompagnement des jeunes qui entreprennent et innovent dans le domaine de la protection de l’environnement. Mboa Hub, la filiale camerounaise du programme Planet One a été officiellement lancée le 16 février dernier, à son siège sis-au quartier Obili à Yaoundé. Ce centre de formation permettra d’équiper gracieusement les jeunes, d’outils devant leur permettre d’être plus efficaces sur le terrain de la protection de la nature.
Sur les axes d’intervention et le mode opératoire de Mboa Hub, les opportunité que le centre offre aux jeunes, Nous écouterons tour à tour, Dolorès Mache et Rex Andoh, ils sont tous deux des Planet One trainers, ou encore des encadreurs de l’antenne Cameroun de Planète one, baptisé Mboa hub. Mesdames et messieurs, chers auditeurs, chers internautes, bienvenus dans environnementales.
C’est une première à Yaoundé, et même Cameroun. Un centre dédié à l’accompagnement des jeunes qui entreprennent et innovent dans le domaine de la protection de l’environnement. Mboa Hub, la filiale camerounaise du programme Planet One a été officiellement lancée le 16 février dernier, à son siège sis-au quartier Obili à Yaoundé. Ce centre de formation permettra d’équiper gracieusement les jeunes, d’outils devant leur permettre d’être plus efficaces sur le terrain de la protection de la nature.