Toute l'actu sur la protection de l'environnement

Month: décembre 2023

Total 13 Posts

Protégée du braconnage, la plus grande population d’éléphants au monde est menacée par la sécheresse. Selon le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), au moins 100 éléphants sont morts dans le parc national de Hwange, la plus grande réserve naturelle du Zimbabwe.
Au Zimbabwe, les pluies d’été ont accusé un retard d’environ cinq semaines, en raison du phénomène El Niño (qui se traduit pas une hausse de la température à la surface de l’eau). Dans le parc national de Hwange, qui couvre environ 15 000 kilomètres carrés au nord-ouest du pays, de nombreux points d’eau autrefois abondants, se sont transformés en flaques boueuses. Les près de 45 000 éléphants que compte l’aire protégée ont fait face à un stress hydrique sévère. Épuisés par le manque d’eau, des dizaines d’entre eux ont succombé.
« À la fin de la saison sèche, les éléphants sont toujours affaiblis. Pendant la saison sèche, les éléphants restent toujours autour des points d’eau, ils se nourrissent de la végétation avoisinante et donc plus la saison sèche dure, plus ils doivent s’éloigner des points d’eau pour manger et revenir pour boire. Donc si la saison sèche se prolonge, les distances à parcourir deviennent trop importantes et les éléphants s’affaiblissent et certains finissent par mourir », explique David Germain-Robin, du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW).
L’organisation indique que les 104 forages d’eau alimentés par énergie solaire du parc de Hwange n’étaient pas suffisants pour faire face aux températures extrêmes qui assèchent les points d’eau existants, obligeant les animaux à parcourir de longues distances à la recherche de nourriture et d’eau. « Au moins 100 éléphants seraient déjà morts à cause du manque d’eau », déplore l’IFAW.
La nouvelle sur le péril des éléphants au Zimbabwe est survenue au moment où s’achevait à Dubaï aux Émirats arabes unis (EAU), la 28e Conférence des Nations unies sur le climat (COP28). Des négociations au cours desquelles, l’IFAW a mis en avant l’impact dévastateur du changement climatique sur la faune et les êtres humains. « Les animaux sauvages empêchent le carbone, déjà stocké dans la nature, d’être libéré dans l’atmosphère et aident la nature à absorber et à stocker encore plus de carbone », a expliqué Phillip Kuvawoga, directeur du programme Conservation des habitats à l’IFAW. L’organisation appelle à une approche intégrée et holistique pour soutenir les habitats et les communautés résilientes au changement climatique.
Boris Ngounou

La reprise des audiences dans les juridictions du pays se poursuit, notamment par la conclusion de plusieurs affaires relatives au trafic d’espèces de faune sauvage. Ces dossiers initiés par l’administration des Eaux et Forêts, appuyée par l’ONG Conservation Justice, ont été soumis aux tribunaux où ils ont été traités dans le respect de la loi. Des peines de prison ferme dissuasives ont été infligées à 12 trafiquants de faune pour ces cas de trafic qui n’entrent pas dans le contexte d’abattage d’éléphants pour la protection des biens ou des personnes. 

Affaire Ministère Public et MINEF contre MAVOUNGOU MBOUITY Fabrice Verlance

Interpellé le 11 novembre 2022 avec deux pointes d'ivoire, il a été déclaré coupable le 15 décembre 2023 pour chasse illégale d'espèce protégée et condamné à 36 mois de prison donc 18 mois d’emprisonnement ferme et 18 mois avec sursis, accompagnés d'une amende de 2 950 000 F CFA et des dommages et intérêts pour l’administration des Eaux et Forêts.

Affaire Ministère Public et MINEF contre BANCE Idrissa

Appréhendé le 2 juillet 2023 à Kango en possession de 4 pointes d'ivoire, il a été condamné le 15 décembre 2023 à 1 an de prison ferme et un an avec sursis, assortis d'une amende de 4 000 000 FCFA et des dommages et intérêts pour l'administration des Eaux et Forêts.

Affaire Ministère Public et MINEF contre BONGHO MAVOUNGOU Sosthene

Arrêté le 9 octobre 2023, à Port-Gentil, avec trois pointes d'ivoire, il a été reconnu coupable le 15 décembre 2023, de chasse illégale d'espèce protégée et condamné à un an d'emprisonnement avec sursis, assorti d'une amende de 8 975 000 FCFA et de dommages et intérêts pour l'administration des Eaux et Forêts.

Affaire

Ministère Public et MINEF contre ADJENDJA Arsène et RAYIMBI Jean Hugues

Après avoir été arrêtés respectivement les 25 et 26 octobre 2023 à Port-Gentil, en possession de 2 pointes d'ivoire, les deux individus ont été reconnus coupables de détention illégale d'ivoire et condamnés le 15 décembre 2023, à 14 mois de prison ferme et 10 mois avec sursis, assortis d'une amende de 4 037 000 FCFA, avec des dommages et intérêts à verser à l'administration des Eaux et Forêts qui s’élèvent à 1 000 000 FCFA pour chacun. Pour rappel les deux cités, avaient été interpellés par la DGR et les Eaux et Forêts au cours d’une mission de lutte contre le braconnage à Port-Gentil.

 Affaire Ministère Public et MINEF contre MAHOUTEMOI Janvier Sylvestre, ABAYA Ange, EWELET Saturnin, PAMBOU Marcy Dorlant et SIMAZOKOU Saint-Fort

Suite à une opération menée le 7 novembre 2023 par la Brigade de Gendarmerie de Booué, les personnes impliquées dans une transaction illégale d'ivoire ont été condamnées le 15 décembre 2023, à 24 mois d'emprisonnement ferme, assortis d'une amende de 1 400 000 FCFA et de dommages et intérêts pour l'administration des Eaux et Forêts.

Affaire Ministère Public et MINEF contre MADOUMA Christian et MBA Patrice

Appréhendés le 23 juin 2022 à Lambaréné alors qu'ils tentaient de vendre 13 pointes d'ivoire et une peau de panthère, les prévenus ont été reconnus coupables du délit de détention des produits des espèces intégralement protégées à l'audience du 3 novembre 2023. Ils ont été condamnés à 16 mois de prison ferme accompagnés d'une amende de 18 247 500 FCFA chacun, en plus de des dommages et intérêts au Ministère des Eaux et Forêts.

Ces affaires rappellent l'engagement des autorités judiciaires gabonaises dans l'application des lois et la lutte contre tout type de trafic dont celui de l'ivoire, démontrant ainsi la détermination à protéger la faune sauvage du Gabon. Le nouveau gouvernement gabonais promeut le développement local et la protection des biens et des personnes vis-à-vis de la faune, ceci en faveur des communautés locales dans le cadre du conflit homme-faune.

Mais la loi demeure sans compromis envers les trafiquants, notamment d'ivoire. Il est à ce titre important de rappeler que la loi prévoit que tout abattage d'éléphant nécessite d'en informer les autorités et en particulier les Eaux et Forêts, ceci afin de respecter la législation en la matière et d'éviter toute éventuelle sanction.

Conservation Justice

GABON : de nouveaux trafiquants d’ivoire, condamnés par le tribunal de Libreville

La reprise des audiences dans les juridictions du pays se poursuit, notamment par la conclusion de plusieurs affaires relatives au trafic d’espèces de faune sauvage. Ces dossiers initiés par l’administration des Eaux et Forêts, appuyée par l’ONG Conservation Justice, ont été soumis aux tribunaux où ils ont été traités dans le respect de la loi. Des peines de prison ferme dissuasives ont été infligées à 12 trafiquants de faune pour ces cas de trafic qui n’entrent pas dans le contexte d’abattage d’éléphants pour la protection des biens ou des personnes.

Expected on 12 December 2023, the agreement on the Global Budget reached at COP28 was finally adopted on 13 December in Dubai, United Arab Emirates. The text calls on countries to « make a transition away from fossil fuels » and to accelerate this action « in this crucial decade, in order to achieve carbon neutrality by 2050 ». Afrik21 looks back at this declaration without Nassim Oulmane, Acting Director of Technology, Climate Change and Natural Resources at the United Nations Economic Commission for Africa (UNECA).

Boris Ngounou (BN): What do you think of the agreement on the Global Budget reached at COP28?

Nassim Oulmane: For the first time, the COP has called for transitional action to move away from fossil fuels. For Africa, which accounts for less than 4% of all cumulative and current emissions, the challenge is to ensure that climate change does not reduce our chances of developing and achieving our Sustainable Development Goals (SDGs) and the objectives of Africa’s Agenda 2063. To achieve this, the remaining carbon budget must be adjusted to give Africa the space it needs to build and secure its development and transformation trajectory.

This objective can only be achieved if industrialised nations begin immediately to phase out fossil fuels, while helping developing countries, particularly in Africa, to invest in transitional fossil fuels in order to strengthen their capacity to make the transition to green energy. It is important to replace unilateral, uncoordinated actions that create barriers to these pathways with concerted, multilateral efforts to facilitate these goals. We must always bear in mind that 600 million Africans still have no access to energy. As a result, the dual climate and development challenge facing African countries requires the promotion of investment in transitional energies, particularly gas, to ensure that the continent rapidly closes the energy access gap and industrialises at the pace needed to meet its development goals and facilitate the transition to clean energy. It is fundamentally the just energy transition that we are seeking, as part of a global phase-out based on common but differentiated responsibilities and in the light of national circumstances. This is the fair and equitable result that a united approach to the COPs must produce.

At the Dubai climate summit, the United Nations Economic Commission for Africa (UNECA) organised a plethora of panels and sessions on the SDGs and adaptation to climate change in Africa. How would you assess this?

The ECA has indeed organised numerous events to bring Africa’s unique voice to the fore and better explain the continent’s positions and needs to the rest of the world. Financing remains the main obstacle to a global and inclusive climate response. It is of course frustrating that the target of providing $100 billion a year in climate finance has still not been met. It is also frustrating that the parties were unable to agree on the new collective quantified financing target at COP28. Despite this, many promising pledges and initiatives were announced at the climate summit held in Dubai from 30 November to 12 December 2023.

However, many of these initiatives will not materialise unless adequate, accessible, predictable and new funding is made available as a matter of urgency. It was important for these panels to point out that the funding gap is enormous. Between 5.8 and 5.9 trillion dollars will be needed to implement nationally determined contributions (NDCs) between now and 2030, 215 to 387 billion dollars are needed each year for adaptation, and 4.3 trillion dollars for investment in clean energy. These are colossal sums that will not be easily accessible from existing public funds. It is clear that making affordable finance available, restructuring debt, encouraging new and innovative forms of finance, and reforming international financial institutions and systems will make it possible to achieve the MDGs and combat climate change.

Another subject discussed by these panels concerns carbon markets.

The historic consensus reached at COP 28 calling on the parties to move away from fossil fuels will certainly increase demand for carbon credits, strongly stimulated by the increased commitments of public and private investors to reduce residual carbon emissions from energy systems, industry, built infrastructure and transport in particular. This demand will not be met by the current supply of credits on all the existing markets, which represents a huge gap. Thanks to their vast carbon sinks in tropical forests and other terrestrial and aquatic ecosystems, and their high potential for renewable energy production, African countries will be able to generate and trade credible and additional high-quality credits to fill these supply gaps and help accelerate the transition to a low-carbon economy.

They will also be able to generate additional revenues to support adaptation, resilience, the SDGs and other priorities in their development plans. To enable African countries to exploit these opportunities effectively and fully, the ECA is working with partners such as the Congo Basin Climate Commission to set up high-integrity regional carbon markets that generate additional and credible credits, and preserve environmental integrity. We also had panels on the blue economy and the Great Blue Wall initiative, and with the African Islands Climate Commission to make the blue economy a pillar of the continent’s development and of Africa’s climate action.

COP28 also saw the establishment of the « loss and damage » fund, with an initial contribution of around 725 million dollars, according to the AfDB. In your opinion, what needs to be done to ensure that this fund quickly meets the needs of African countries, which are still the most vulnerable to natural disasters and the consequences of climate change?

On the very first day of the conference, the COP28 Presidency paved the way by pledging $100 million for the operationalisation and initial capitalisation of the « Loss and Damage » fund ($200 million was needed to make the fund operational). By the second day of the international meeting, nearly $725 million had been pledged to the new fund. After almost three decades of negotiations on the creation of the fund, this is a considerable step forward and demonstrates the host’s intention to achieve concrete results at the end of COP 28.

 However, it should be noted that $725 million is a far cry from the estimated $3 trillion needed to address the loss and damage caused by climate change and to build resilience. The financing needs are much greater. Much also remains to be done to define the fund’s operating rules, in particular its governance, the methods for assessing damage and quantifying compensation, the disbursement procedures, etc. The ECA has been at the forefront of helping African states to build resilience into their economies, ecosystems, infrastructure and livelihoods through initiatives such as support for the development and implementation of NDCs, capacity building for the integration of climate information into infrastructure and investment planning, and the conceptualisation of the African Climate Change Strategy.

The ECA has also facilitated the development of a tool based on a climate model to predict and assess losses and damage in African countries, which has enabled a better assessment of the needs of African countries. Today, it is important to develop innovative tools based on methodologies that are accepted and agreed at multilateral level so that the operationalisation of this fund can rapidly respond to the emergencies and needs of the continent which, I would remind you, is the most vulnerable and the most impacted by the consequences of climate change. This is what we are working on with our partners.

                                                                                                            Interview by Boris Ngounou

Ajoutez votre titre ici

Nassim Oulmane: « Adequate, accessible and new funding is urgently needed ».

Expected on 12 December 2023, the agreement on the Global Budget reached at COP28 was finally adopted on 13 December in Dubai, United Arab Emirates. The text calls on countries to « make a transition away from fossil fuels » and to accelerate this action « in this crucial decade, in order to achieve carbon neutrality by 2050 ». Afrik21 looks back at this declaration without Nassim Oulmane, Acting Director of Technology, Climate Change and Natural Resources at the United Nations Economic Commission for Africa (UNECA).

Plutôt que delà sortie des énergies fossiles (pétrole en tête), il faut se contenter d’une  »transition hors des énergies fossiles  » aux sortir de la COP28 de Dubaï. Mais pourquoi donc?
La COP28 émiratie qui s’est tenue à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre 2023 a livré son verdict. Annoncée comme étant le point de rupture avec les énergies fossiles, elle a plutôt consacré une nouvelle prouesse langagière. Les pays du Monde entier sont désormais appelés à  »transitionner » hors des énergies fossiles  »’. Une prudence dans le verbe qui ne peut que satisfaire les thuriféraires de l’industrie petro-gazière mondiale.

À commencer par le Président de la COP28 qui après avoir frappé son marteau pour valider le texte final de cette COP28 affichait béatement un sourire de satisfaction. SULTAN AL JABER, patron d’ADNOC, la principale compagnie petro-gazière des Emirats Arabes Unis avait de quoi se réjouir. Car de la transition à la sortie réelle des énergies fossiles, il n'y a qu'un délai qui n'engage réellement que ceux qui veulent y croire. Ce qui a fait dire au Secrétaire Général de l'Organisation des Nations Unies Antonio Gutterez que: '' À ceux qui se sont opposés à une référence claire à l'élimination progressive des combustibles fossiles dans le texte de la COP28, je tiens à dire qu'une élimination progressive des combustibles fossiles est inévitable, qu'ils le veuillent ou non. Espérons que cela n'arrive pas trop tard''.

La COP28 devait se clôturer mardi, mais d'intenses négociations ont eu lieu pendant la nuit et ont forcé la conférence à continuer plus longtemps. Les discussions portaient sur la question de savoir si le résultat final inclurait un appel à la ''réduction progressive '' où à ''l'élimination progressive '' des combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz et le charbon qui réchauffent la planète. Élimination progressive indispensable pour limiter le réchauffement climatique à 1.5 °C tel que fixé par l'Accord de Paris de 2015.

Les négociateurs de la COP28 se sont également mis d'accord sur des engagements visant à tripler la capacité des énergies renouvelables et à doubler l'efficacité énergétique d'ici 2030 et ont réalisé des progrès en matière d'adaptation et de financement. Un fonds ''Perte et dommages '' destinés à soutenir les pays du Sud dans leurs efforts contre les effets néfastes du réchauffement climatique a été annoncés. Il sera doté par les pays du Nord à hauteur de 700 milliards USD : les pays en développement devront montrer patte blanche pour bénéficier de ces financements en défendant des projets écologiquement viables. La Banque Mondiale s'est quant à elle dite prête à mettre chaque année 9 milliards de dollars pour financer des projets liés au climat entre 2024 et 2025.

Mais alors, y a-t-il de quoi donner aux pays africains des moyens pour construire leur industrie verte en opérant aussi leur révolution techno-industrielle vers les énergies renouvelables ? En tout cas, l'énergie solaire se propose comme alternative. Si la Nature a gâté nos pays d'Afrique équatoriale en termes de soleil, il faudra des moyens technologiques colossaux pour pouvoir exploiter cette énergie de manière efficace et efficiente et alimenter à la fois les entreprises et les ménages d'Afrique en énergie électrique.

Moyens qu'il revient aux Africains et à eux seuls de se doter sans attendre l'aumône des pays industrialisés et des bailleurs de fonds qui n'ont aucun intérêt à voir l'Afrique jouir d'une autonomie énergétique et encore moins d'une autonomie industrielle et d'une prospérité économique pourtant indispensables pour créer de la richesse pour nos enfants et des emplois pour nos femmes et nos hommes. Dans ce cas, il faudra encore envisager exploiter nos réserves de pétrole et de gaz au Cameroun pour pouvoir non seulement générer des revenus conséquents pour le développement industriel voulu par la SND30 ( Stratégie Nationale de Développement 2030) , mais aussi opérer une transition écologique hors des énergies fossiles à travers des projets écoresponsables , sans perturber les équilibres économiques et sociaux.

LEONEL AKOSSO

Ajoutez votre titre ici

BILAN DE LA COP28

Plutôt que delà sortie des énergies fossiles (pétrole en tête), il faut se contenter d’une  »transition hors des énergies fossiles  » aux sortir de la COP28 de Dubaï. Mais pourquoi donc?
La COP28 émiratie qui s’est tenue à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre 2023 a livré son verdict. Annoncée comme étant le point de rupture avec les énergies fossiles, elle a plutôt consacré une nouvelle prouesse langagière. Les pays du Monde entier sont désormais appelés à  »transitionner » hors des énergies fossiles  »’. Une prudence dans le verbe qui ne peut que satisfaire les thuriféraires de l’industrie petro-gazière mondiale.

Fondation EBOKO : »Nous sommes ravis de vous annoncer la publication de notre Appel à l’action de la société civile !
Avant le récent Sommet des 3 Bassins qui s’est tenu à Brazzaville en octobre dernier, nous avions organisé un appel à l’action percutant pour attirer l’attention des autorités et faire entendre nos préoccupations.
Nous sommes heureux de vous informer que le document de l’Appel à l’action est désormais disponible en français et en anglais sur notre site internet. Il offre un aperçu complet des problématiques essentielles tout en mettant en évidence les mesures urgentes à prendre pour y faire face.
Nous vous invitons tous à visiter notre site web et à télécharger le document pour approfondir votre compréhension et sensibiliser les autres aux défis auxquels nous sommes confrontés. Ensemble, nous pouvons susciter le changement et créer un avenir durable pour nos communautés et notre planète. ».

La Fondation Eboko est une organisation engagée envers l’Agenda 2030 pour le développement durable. Notre mission est de mener des actions concrètes pour contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable d’ici à 2030, en mettant l’accent sur plusieurs axes d’action essentiels.

fondationeboko@gmail.com / foundationeboko@gmail.com
+33 7 81 25 14 40

La société civile dit « NON » au pillage des trois plus grands bassins forestiers de la planète

Nous sommes ravis de vous annoncer la publication de notre Appel à l’action de la société civile !
Avant le récent Sommet des 3 Bassins qui s’est tenu à Brazzaville en octobre dernier, nous avions organisé un appel à l’action percutant pour attirer l’attention des autorités et faire entendre nos préoccupations.
Nous sommes heureux de vous informer que le document de l’Appel à l’action est désormais disponible en français et en anglais sur notre site internet. Il offre un aperçu complet des problématiques essentielles tout en mettant en évidence les mesures urgentes à prendre pour y faire face.
Nous vous invitons tous à visiter notre site web et à télécharger le document pour approfondir votre compréhension et sensibiliser les autres aux défis auxquels nous sommes confrontés. Ensemble, nous pouvons susciter le changement et créer un avenir durable pour nos communautés et notre planète.