L’accès à l’eau, que ce soit pour la consommation humaine, ou pour un usage à des agricole ou énergétique, devient davantage difficile dans la région de l’extrême –Nord Cameroun. Dans cette région caractérisée par des températures grimpant parfois jusqu’à 42° Celsius, les pluies ne tombent que sur 30 à 100 jours par an. En pareil circonstances, avoir de l’eau en quantité et en qualité, s’avère quasi impossible, notamment pour les femmes.
Pour réduire la vulnérabilité des femmes face aux problèmes d’accès à l’eau, le gouvernement camerounais et le Global Water Partnership – Cameroun, promeuvent l’insertion des femmes dans les projets de gestion intégrée des ressources en eau. Une démarche pilotée à travers le programme Eau, Climat, Développement et Genre (WACDEP-G). Dans le cadre dudit programme, une vingtaine de femmes leaders d’associations féminines de la Région de l’Extrême-Nord, viennent une formation sur le contrôle des informations météorologiques. On en parle dans ce nouveau numéro d’Environnementales, merci d’être à l’écoute.
Boris Ngounou