Au Cameroun comme en République démocratique du Congo (RDC), les communautés villageoises assistent à la disparition de leurs forêts sacrées. Lieu de rites ancestraux et de pratique sacrificielle, les forêts sacrées subissent de plus en plus de pression au péril de leur biodiversité et de leur rôle écologique. Pour inverser la tendance, les chefs traditionnels, la société civile et les gouvernements multiplient les initiatives.